Maximgar revisite la revisite des classiques

Qu’est-ce qui fait qu’on se lance dans l’écriture d’un blog, d’un journal, d’une nouvelle, d’un roman ou d’un article sur la robustesse des aspirateurs, et qui quelques années après, vous reste chevillé au corps, chevillé au cœur, comme une addiction, comme une vulgaire drogue achetée à la sauvette ? comme une simple clope ?

Je suis incapable de le dire. Incapable de l’écrire.

C’était la coupe du monde de football. L’événement le plus classe du monde, ou le moins, c’est selon les goûts… Il ne restait que des équipes de pays ou de territoires ayant appartenu à Charles Quint et j’ai écrit un premier truc obscur. C’est donc qu’à l’origine je ne voulais pas encore parodier des textes classiques ou des chansons populaires. Peut-être même des films inconnus. Ou les déformer. Les revisiter quoi. C’est qu’après l’avoir voulu, j’ai vraisemblablement fait autre chose. Qu’est-ce qui fait qu’on se lance dans l’écriture et puis qu’elle vous dépasse ? Qu’est-ce qui vous fait vous rendre ailleurs dans des paragraphes un peu mieux ?

Je suis incapable de le décrire.

Je remercie les lecteurs qui ont fait s’emballer ce train. Il ne fallait pas grand-chose. Il n’a pas fallu grand-monde. Pour que je me lance dans des articles trop longs. Où des boxeurs boivent du café dans l’ombre des Havane. Merci. Je compte bien poursuivre.

Longtemps.

MAXIMGAR REVISITE…

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